Depuis la rentrée scolaire récente, les enfants nés en 2010 et entrants en 6ème font l’objet d’insultes et de harcèlement de la part d’autres ados, souvent à peine plus agés qu’eux.
La cause ? Des critiques de la part de joueurs du jeu vidéo Fortnite qui reprochent aux 2010 de ne pas respecter certaines règles, ainsi que des moqueries à l’encontre de la mode du « Pop-it », un jeu qui fait fureur chez les moins de 12 ans et dont la chanteuse pour ados Pink Lily a fait un clip. Elle-même est la cible sur le net de nombreuses critiques et parodies.
TikTok et Instagram ont réagi en supprimant ce hashtag. Néanmoins, le mal se poursuit. Après le cyberharcèlement, des collégiens sont aussi victimes d’insultes, voire de coups !
Brigitte Macron, le Ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer et de très nombreuses associations se sont emparés de ce sujet afin de sensibiliser aussi bien les jeunes que les parents. Mais la sensibilisation est souvent insuffisante…
Si l’enfant est régulièrement malmené et devient l’objet d’un véritable harcèlement, il est indispensable de mener une action plus ciblée à l’encontre des harceleurs. C’est ce que permet QuiviveAPP. En enregistrant ce qui se dit autour de son téléphone, l’ado peut apporter la preuve de son harcèlement. Ceci va déclencher des résultats concrets, d’autant qu’en milieu scolaire, les harceleurs sont connus de leur victime.
L’application QuiviveAPP est unique sur le marché puisqu’elle permet de restituer les faits passés !
Une victime ne sait pas à l’avance qu’elle va être agressée. Quand cela arrive, elle est démunie et choquée. Elle n’a pas les idées claires et la plupart du temps, elle n’a pas le temps ou ne pense pas à démarrer un enregistrement avec son téléphone. QuiviveAPP permet de récupérer l’enregistrement de l’agression une fois que les faits sont terminés et que la victime est à l’abri.
S’agissant d’adolescents, une fois qu’ils ont échappé à leurs harceleurs, ils vont pouvoir sauvegarder ce qui s’est passé et, après être rentrés chez eux, en parler à leurs parents ou à une personne de confiance (ami, famille). Comme toutes les autres formes de harcèlement, être cru est un obstacle supplémentaire, après avoir enfin osé parler. L’enfant a-t-il exagéré ? Que s’est-il exactement passé ? Et même lorsque les parents montent au créneau auprès de l’école, l’institution a souvent tendance à minimiser (« chamailleries d’enfants »). Dans la plupart des cas, les enfants harcelés sont ceux qui finissent par devoir changer d’école, voire poursuivre leur scolarité au CNED. Sans parler de conséquences parfois plus funestes…
Si vous appréciez notre mission, n’hésitez pas à recommander QuiviveAPP. Plus les utilisateurs seront nombreux, plus le harcèlement sera risqué et moins, il existera !